La politique Economique de Macky Sall : la mauvaise note de Mimran à Macky…
«Tant qu’il y a des jeunes Sénégalais qui risquent leur vie en Europe, c’est que quelque chose ne marche pas», regrette le patron de la Compagnie sucrière du Sénégal (CSS) dans un entretien avec Le Quotidien, L’Observateur et Wal fadjri.
Il explique : «Je ne suis pas un grand économiste, mais on n’a pas besoin d’être un grand économiste pour s’en apercevoir. Il faut donner à ces jeunes des perspectives d’avenir, un emploi notamment. Qui peut leur donner des emplois en dehors des investisseurs et des entreprises ? C’est pourquoi il faut donner confiance à ces derniers.»
Poussant sa plaidoirie en faveur du secteur privé, Mimran ajoute : «On ne peut pas investir des centaines de milliards de francs CFA pour développer les emplois sans savoir avec certitude de quoi demain sera fait. On augmente les prix aujourd’hui, on les baisse demain, il n’y a pas de niveau de vraisemblance.»
«Tant qu’il y a des jeunes Sénégalais qui risquent leur vie en Europe, c’est que quelque chose ne marche pas», regrette le patron de la Compagnie sucrière du Sénégal (CSS) dans un entretien avec Le Quotidien, L’Observateur et Wal fadjri.
Il explique : «Je ne suis pas un grand économiste, mais on n’a pas besoin d’être un grand économiste pour s’en apercevoir. Il faut donner à ces jeunes des perspectives d’avenir, un emploi notamment. Qui peut leur donner des emplois en dehors des investisseurs et des entreprises ? C’est pourquoi il faut donner confiance à ces derniers.»
Poussant sa plaidoirie en faveur du secteur privé, Mimran ajoute : «On ne peut pas investir des centaines de milliards de francs CFA pour développer les emplois sans savoir avec certitude de quoi demain sera fait. On augmente les prix aujourd’hui, on les baisse demain, il n’y a pas de niveau de vraisemblance.»
Même s’il affirme que ses «relations avec le Président Macky Sall sont bonnes», Jean-Calude Mimran ne manque pas de critiquer sans gants sa politique économique. L’homme d’affaires la juge «pas bonne».
«Tant qu’il y a des jeunes Sénégalais qui risquent leur vie en Europe, c’est que quelque chose ne marche pas», regrette le patron de la Compagnie sucrière du Sénégal (CSS) dans un entretien avec Le Quotidien, L’Observateur et Wal fadjri.
Il explique : «Je ne suis pas un grand économiste, mais on n’a pas besoin d’être un grand économiste pour s’en apercevoir. Il faut donner à ces jeunes des perspectives d’avenir, un emploi notamment. Qui peut leur donner des emplois en dehors des investisseurs et des entreprises ? C’est pourquoi il faut donner confiance à ces derniers.»
Poussant sa plaidoirie en faveur du secteur privé, Mimran ajoute : «On ne peut pas investir des centaines de milliards de francs CFA pour développer les emplois sans savoir avec certitude de quoi demain sera fait. On augmente les prix aujourd’hui, on les baisse demain, il n’y a pas de niveau de vraisemblance.»